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Et si cétait possible
29 février 2016

Arrêtez de victimiser

papillon

Arrêtez de victimiser

  Libérez vous…

   « Je ne suis victime que de moi-même », retenez ceci. La société n’est pas responsable de vos malheurs, personne ne doit subir le fait que vous soyez malade, malheureux, que vous ayez vécu des tragédies, etc… D’en parler pour essayer d’extérioriser est une chose, une très bonne chose d’ailleurs, mais de se s’apitoyer sur son sort continuellement ne rend service ni à vous, ni à ceux qui vous entourent.

 « Il est amer de constater qu’en amour, comme en toutes choses, on n’est jamais victime que de soi-même. »
Marcelle Auclair

        En effet, beaucoup d’évènements viennent affecter notre quotidien, qui ne dépendent pas de nous, que nous ne contrôlons pas, mais devons-nous pour autant, laisser ces faits détruire notre vie ? Il est surprenant  de constater que pour un même fait, les personnes réagissent différemment. Quand certains vont essayer d’en tirer le maximum d’enseignements pour  en ressortir plus fort, d’autres vont au contraire capituler sous le poids des émotions, c’est-à-dire, cesser toutes formes de résistances, pourtant nécessaires pour un prompt rétablissement.

             Si nous sommes tributaires d’évènements que nous ne maîtrisons pas, nous pouvons agir en prenant des décisions utiles pour nous éviter de sombrer. Attention, de ressentir des émotions est une réaction logique, il serait anormal par exemple, qu’à la suite de la disparition d’un proche, d’une rupture amoureuse, d’un accident quelconque de la vie, etc… de rester de marbre.  Nous aurons à affronter cette étape mais nous ferons en sorte qu’à partir de maintenant, nous en ressortions grandi, plus fort,  car après tout, ce sont des leçons de vie qui nous indiquent quoi changer en nous. Je prends l’exemple du décès d’un être cher, il vous faudra retenir que personne n’est épargnée, de ne pas remettre à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui, de vous mettre à la place du disparu et de vous demander ce qu’il aurait souhaité pour vous, etc… Comprenez que vous ne pouvez pas changer les évènements mais que vous pouvez vous changer vous.

               Toutes ces personnes « soit disant victimes » que j’ai pu rencontrer, occultaient le fait qu’elles étaient seules responsables de cet état. En ne les confortant pas dans leur situation, j’arrivais toujours à leur faire accepter qu’elles devaient voir les choses différemment. En effet, si vous vous confiez à quelqu’un qui va  renforcer votre croyance, vous ne réussirez qu’à accentuer votre mal être. De pouvoir en parler est nécessaire, de choisir son interlocuteur est utile, d’accepter que vous pouvez inverser les choses est fondamental.

             Personnellement, je préconise aux personnes désireuses de se confier, de ne pas s’arrêter qu’à la confidence. Si vous faites cette démarche, vous devez avoir un objectif clair, « La guérison », et certainement pas de vous apitoyer encore et encore, au risque de lasser les gens, de les faire fuir. Essayez de mettre des mots sur vos maux, arrêtez de penser que vous êtes une victime, prenez des décisions qui vous rendent heureux.

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